La CSP en quelques mots

Le concept de sécurité publique repose sur un fait objectif qui part à la fois des connaissances élémentaires de la biologie et du regard que chacun peut porter sur sa propre mentalité. Cela permet d’affirmer que la base informationnelle et algorithmique de la conduite humaine comprend:

Il y a une place potentielle ou réelle pour tout cela dans la mentalité de tout individu. Il y a également ce qui rend l’humanité différente de la biosphère. Cependant ni la biologie, ni la psychologie, ni la sociologie n’en tiennent compte et les manuels scolaires ainsi que ceux de l’enseignement supérieur n’en parlent pas non plus. Ce silence s’explique par ce qui suit:
Tout individu de l’espèce biologique «Homo Sapiens» peut avoir à l’âge adulte quatre types d’organisation mentale plus ou moins stables:

Il y a par ailleurs un type d’organisation mentale créée par l’homme lui seul:

Si l’individu devient dépendant des narcotiques, la déformation de son champ biologique persiste et les paramètres de son esprit empêcheront de le ranger parmi l’espèce biologique «Homo Sapiens». En outre la plupart des narcotiques sont des poisons génétiques qui perturbent le fonctionnement de l’appareil chromosomique et détruisent les structures chromosomiques de ceux qui les consomment. Les structures chromosomiques défectueuses se transmettent à la descendance et d’une manière ou d’une autre ruinent la santé de ceux qui les consomment, leur potentiel et leurs capacités personnelles. Si les poisons génétiques sont consommés trop souvent et en quantités, cela empêche le rétablissement opportun des structures chromosomiques de l’organisme et la descendance s’en trouvera condamnée à la dégénération.

C’est pourquoi on peut nommer ce type d’organisation mentale — mis contre nature. C’est l’homme seul qui lui a donné naissance et qui le reproduit en permanence dans la culture de la société.

Il est normal pour l’individu répondant au principe de l’organisation mentale du type humain de croire Dieu de manière non formelle, sans dogmes ni rite et d’agir de plein gré dans les limites de la Providence. C’est-à-dire qu’il est normal pour l’homme d’être païen- monothéiste.

Le type d’organisation mentale est déterminé par l’instruction et la formation. L’impossibilité de l’atteindre vers le début de la jeunesse est le résultat du caractère vicieux de la culture et du manque de formation des parents. En en prenant conscience à l’age adulte, l’individu est capable d’abandonner n’importe quel type d’organisation mentale pour passer á l’humanité servant de base pour le développement personnel et collectif.

En fonction de la répartition des individus selon leur type d’organisation mentale, la société donne naissance à sa propre organisation sociale et améliore sa culture. Elle contribue ainsi à la conservation de l’état actuel et aux nouvelles tentatives d’esclavage, ou bien à la reconnaissance de l’organisation mentale humaine comme norme reproduite irrésistiblement par la culture de génération en génération en tant que base pour le développement personnel et collectif des peuples et de l’humanité entière dans le future.

Les représentants de l’Eglise Orthodoxe Russe prétendent que le Concept de Sécurité Publique est une idéologie (un dogme) des «sectes totalitaires» formées sur sa base (mais ce n’est que du cancan). Ils médisent aussi injustement de ce Concept et de ses partisans. Contrairement à l’opinion de certains représentants de l’Eglise, il n’est pas possible de fonder sur la base du Concept de Sécurité Publique une secte totalitaire puisque chaque secte se caractérise inévitablement par les éléments suivants:

Le dogme et la structure de toute secte empêchent le croyant d’atteindre directement ou indirectement l’organisation mentale du type humain dès lors que la hiérarchie des maîtres se dresse entre Dieu et les hommes en exigeant d’eux une obéissance aux maîtres comme à Dieu.

A notre avis cette situation est favorisée au minimum par les cinq traits ci-dessous propres à toute secte, indépendamment de son âge et du nombre de ses membres:

  • La présence de doctrines ésotérique et exotérique. Cela signifie qu’il y a toujours une doctrine pour la foule et une autre pour les élus, pour la hiérarchie consacrée;
  • La présence de certains dogmes doctrinaux qui ne sont jamais soumis à discussion et qui doivent être acceptés par les adeptes de la doctrine comme vérité sans remise en question ni raisonnement;
  • La présence d’un rite qui accompagne toute réunion de la secte et qui représente en réalité un instrument pour «zomber» la mentalité;
  • La défense catégorique de discuter avec la hiérarchie de la secte des dogmes principaux de la doctrine;
  • si la doctrine de la secte repose sur les dogmes indiscutables, la question de former la culture personnelle qui permettra de maîtriser une nouvelle connaissance et de comprendre la Vie consciencieusement ne se pose jamais.

Le Concept de Sécurité Publique est contre toute secte. Conformément à ce qu’il a été dit, c’est l’Eglise Orthodoxe Russe elle-même qui peut être considérée comme une secte totalitaire.

Le Concept de Sécurité Publique repose sur un certain nombre d’ouvrages écrits à partir de 1987 (qui ne sont pas encore traduits du russe vers le français) par une équipe initiatrice bénévole qui se nomme «Pronostiqueur Intérieur de l’URSS». L’URSS en tant qu’Etat n’existe plus, mais l’équipe initiatrice continue à œuvrer sous le même nom parce qu’il est devenu une sorte d’appellation et aussi parce que nous ne pouvons pas reconnaître (au sens de la loi) la liquidation de l’URSS, réalisée conformément aux directives de «la coulisse mondiale», des loges maçonniques, de la CIA et du Conseil de la Sécurité Nationale des Etat Unis.

L’accord de la société et de sa culture avec la biosphère de la Terre, nécessite d’être globalement responsable et soucieux de prospérité de tous les peuples de la Terre. La langue anglaise d’aujourd’hui étant la langue la plus répandue, en tant que langue globale de communication, nous avons pris soin à ce que tous les anglophones comprennent ce que nous voulons porter à leur connaissance, contrairement à ce que les maîtres des «bourrins d’instruction» souhaiteraient leur imposer au sujet de notre opinion.

De la même manière, nous n’avons pas besoin de terme «concept» puisqu’il y a en russe le mot «жизнестрой» («jyznestroï» — «bâtiment-de-vie»), c’est-à-dire «l’autocratie du pouvoir conceptuel», parce qu’en russe il est tout à fait possible de se passer de mots des langues mortes. En outre, nos contradicteurs doivent comprendre que leur monopole est terminé. En mots imagés: nous versons notre «eau de source» dans leur «outres de vin de jadis» pour faire craquer leur «outres». Leur “outres” ne nous plaisent pas et leur «vin» est étourdissant.